Feuille éphémère

Le reve d'une ville et donc d'une vie sans voiture peut-être à portée de main.
Anti-voiture

Juste 3 lignes de métro et moins de 35 minutes de trajet pour loger 1 million d'habitants. Mais pour cela il faut changer complétement le concept de ville tel qu'on peut les observer actuellement, presque inverser le centre et la périphérie des villes actuelles.
Si ce reve pouvait devenir réalité : à voir ici : Car Free France

Ca y est, comme ça, il n'y aura pas de jaloux ...
La Bretagne aura enfin son sitcom bien à elle et en breton qui plus est !
A-Live la première série télé en langue bretonne ou brezhoneg sitcom. Ou quand les employés un peu brajos d'une salle de concerts accueille un nouveau patron plutôt du genre tyran. La série produite par Pôle art, TV Rennes et Dizale Pois Chiche à l'image de Caméra cfé ou Kaamelot, donc adapté à un public jeune qui ne se retrouvait pas dans l'actuelle télé bretonne, devait sortir sur TV Rennes.


Mais, voilà, alors que le projet est soutenue par TV Rennes le CNC et les conseils généraux du Finistère et du Morbihan, le conseil régional et le Fonds d'aide à la création audiovisuel ne sont pas d'accord pour compléter le budget, jugeant le projet pas assez créatif voir vulgaire.


Mais TV Rennes, actuelement uniquement sur le câble à Rennes, arrivant sur le réseau hertzien de l'Ille et Vilaine (si autorisation du CSA), cela pourrait changer la donne, et si en plus Jean-Pierre Thomin, maire de Landerneau et conseiller régional en charge de la langue bretonne, s'en méle avec un fond budgetaire spécifique à la langue bretonne ...
Il faut espérer que ce sitcom ne suive pas l'exemple de "Urban Breizh", sur TV Renne, prix de l'avenir de la langue bretonne resté dans les cartons faute de financement.

A-Live sur TV Rennes à suivre, peut-être, à partir de sptembre 2006 ...

Plus d'informations dans le magazine "Bretons" n°6 de janvier 2006 avec Kofi Yamgnane en couverture.

Dans une piece, il y a quatre coins. Dans chaque coin, un chat. Devant chaque chat, trois chats. Et sur la queue de chaque chat, un chat...
Combien y a-t-il de chats en tout dans la pièce ?

Monologue
Admirable,
Décalogue d’un
Estimable
Monopole
Onirique;
Ignorance
Sismique et
Élégante,
Luminance d’une
Luxuriante
Élégance.

Suite du précédent Destin

Je suis arrivé au bout de mon chemin, devant moi s’étale un port de pêche comme on en trouve un peu partout. Un petit port où se balance plus de voiliers de plaisances que de barques de pécheurs. Je suis devant ce port mais je n’y vois rien, pas un mouvement, pas une âme, ni voiliers se dandinants mollements au gré des vagues, ni le moindre chalutier prêt à appareiller ou de retour de pêche. Et c’est ainsi pour tout le village, tout est comme endormi, disparu. Pas le moindre papier ne virevolte ou volet ne claque sous les caprices du vent. Pas le moindre bruit, si ce n’est celui du vent. Ce vent qui m’amène, me pousse jusqu’ici, un vent qui me dit, m’ordonne de le suivre de plus en plus pressant et pressé de me conduire vers mon destin. Il me faut me hâter, reprendre le chemin vers cet horizon. Je suis attendu, je ne sais pas par qui ni par quoi, mais j’en suis sûr, l’on m’attend …

Elle était là, au bout de la jetée.
Diaphane.
 Elle s’est avancée lentement marchant sur l’eau, au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait, le brouillard s’épaissisait. Combat silencieux entre l’air et l’eau pour savoir le quel des deux s’en approprierait
Je la regarde disparaître sans bouger, je sais pourtant déjà où elle s’en va. Personne n’a eu besoin de me le dire, j’ai toujours su.
Et bientôt j’irais aussi.

La musique se fait lancinante, pénètre mon esprit, envahit mon cerveau.
Une bouteille vide se déroule, se sauve.
Je m’endors.
 La musique s’éloigne, le froid s’installe, chassant les derniers bruits de la rue. Elle reviens accompagné de bruits et de sirènes et s’éloigne à nouveau. Dans un va-et-vient rythmé par les battements d’un cœur vieux et fatigué. D’un cœur que j’ai troqué contre un grand carton aussi usé que moi.
Mais déjà la musique reviens, différente, plus forte encore, répétitive, toute proche, trop prés. Portes qui claquent, bruits de pas, quelques voix, flashes bleus.
Il fait nuit, froid.
Je m’endors …

Refrain :
Zora La Rousse
Zora, belle et farouche
Ta vie a un goût d'aventure
Zora rebelle
Zora l'histoire t'appelle
Toi la sauvageonne au coeur pur
... Au coeur pur

Zora la rousse sur Planète Jeunesse

Durée: 45 min + 24 heures - Difficulté: facile

Il vous faut:

• 450 g de sucre
• 25 g de gélatine en poudre
• 4 à 6 gouttes de colorant rouge
• 2 cuil. à soupe de sucre glace
• 6 gouttes d'eau de rose
• 2 cuil. à soupe de maïzena

réparation:
Mettre 1 dl d'eau dans un bol et faire tremper la gélatine.
Mettre 2 dl d'eau dans une casserole, ajouter le sucre et poser la casserole sur feu doux.
Laisser chauffer le sirop jusqu'à la température de 115°C.
Retirer la casserole du feu et y verser le contenu du bol. Mélanger, ajouter le colorant et remettre la casserole sur feu doux. Dès que la température de 107°C est atteinte, retirer la casserole du feu. Rafraîchir le contenu de la casserole en la plongeant dans de l'eau froide puis verser l'eau de rose. Mélanger.
Tapisser avec du papier sulfurisé un moule carré de 18 cm de côté et verser le sirop refroidi. Mettre le moule dans le réfrigérateur. Au bout de 24 h, tamiser le sucre glace et la maïzena sur le plan de travail. Mélanger. Sortir le moule du frigo et le retourner de façon à faire tomber son contenu sur le mélange sucre-maïzena. Retirer le papier et découper la préparation en carrés. Rouler ces carrés dans le mélange et les poser au fur et à mesure sur le plat de service.

Le Canard Enchaîné du 9 nov. 2005 revele une singularité dans la répartition des effectifs de police.

Quand Jego, maire de Montereau et pote de Sarko, veut des gars, il les a. Même chose pour Mignon, le maire UMP de Dammarie-les-Lys, ou pour Copé à Meaux.

Quitte à ce que les mairies PS, comme Savigny-le-Temple ou Melun se partagent le peu qu'il reste. Les fonctionnaires d'Evry(PS) allant renforcer le commissariat de Corbeil (mairie tenue par serge Dassault) et Sevran ou Rosny-sous-Bois, toutes les deux dans le 93, en sous-effectif depuis quelques années.

L'UMP serait-il spécialisé dans des mairies si difficiles qu'il faille de tel renforts de police et le PS tellement efficace dans la gestion du social qu'il n'en ait pas besoin ?

Coin Coin du 18 nov. 2005 : le Canard en rajoute une couche le 16 nov. en affirmant :
"Si, dans le 9-3, Clichy-sous-Bois et Montfermeil n'ont pas de policiers à demeure, [...], parce que le député-maire UMP de la commune du Raincy [...] a voulu, avec l'accord de son ami Sarko, se garder pour lui le seul commissariat de ce secteur."