5 oct. 2005
Sur une idée de Nan’ (décidement, que ferais-je sans Nan’ ?), j’ai fait une petite histoire des quelques phrases glanées ici et là sur le théme de la 23ème note.
Nous regardons ces objets ronds comme des parfums de bruits de nuit, on dit que la mer inonde le ciel d’obscurité, et de veille. Nulle promenade, ce matin, sur les bords de Loire ou au Jardin botanique, mais mon fils a joué longtemps au paléontologue, dans la cour de graviers. La douleur se fait lancinante et met la sourdine et d’un seul coup elle revient, brutalement. Nos questions qui trouvent un écho, qui nous reviennent en boomerang.
Repos.
J’ai repris le travail et récupéré une ligne ADSL à mon nouveau chez-moi. Pis tu disais à tes potes: moi en tout cas, jamais je n’aurai de téléphone portable. On me racontera, sûrement, mardi … Parce que avec ce lundi de pentecôte dont personne ne sait quoi faire, il n’y a pas cours demain (allez pas croire non plus que je me plains). Et encore, il n’en était pas question hier soir ! Je me posai un ultimatum : ce devait être achevé avant la fin de l’année. Ne dormons pas, ça ne ferait pas très sérieux au travail !
Prise d’une inquiétude subite, ça y est ils sont encore en train de se battre, je monte les escaliers au galop, et j’ouvre la porte, pour me retrouver….
Ado en basket et queue de cheval embrassant une jeune fille en dock martens et crâne rasé… En même temps, je n’avais que trop tardé à faire entendre Natalie Dessay. Eh ben dis donc ! vous devriez voir l’anorexique que c’est devenu depuis qu’elle s’est jointe à notre foyer… quelle ogresse !
Encore une fois, “yaka” cliquer pour connaitre les originaux. Mais avant d’aller plus loin, j’ai ajouté un mot quelque part dans cette histoire, saurez-vous le retrouver ?